mercredi 22 janvier 2020

Météo 2019 : une année contrastée


Les trois premiers trimestres de l’année 2019 ont été peu arrosés.
La sécheresse a été accentuée par la canicule qui nous a frappés dès la fin juin et pendant tout l’été avec ses conséquences spectaculaires : prés et pelouses grillés, interdictions d’arrosage et Loire au plus bas.

Mais, le retour des pluies, fin septembre, a comblé le déficit du reste de l’année. En effet, octobre, novembre et décembre ont accumulé autant de pluie que le reste de l’année. D’ailleurs, le dernier trimestre 2019 est le plus arrosé depuis 1989, ce qui a permis de recharger les nappes phréatiques.

Le total des précipitations en 2019 s’établit donc à 864 mm. certes en baisse par rapport à l’année 2018, mais bien au-dessus de la moyenne des trente dernières années qui s’établit à 776 mm.

A titre de rappel, sur la même période, c’est en 2005 que le total des pluies avait été le plus bas avec 519 mm.

Janvier
37 mm
Février
63 mm
Mars
72 mm
Avril
47 mm
Mai
39 mm
Juin
56 mm
Juillet
13 mm
Août
43 mm
Septembre
65 mm
Octobre
134 mm
Novembre
181 mm
Décembre
114 mm

                     soit un total de 864 mm

lundi 6 janvier 2020

La grand'rue




Dans notre série « les cartes postales du vieux Bouzillé », voici la grand’rue.
Le cliché a été pris depuis le parking près de la Maison des Souvenirs, en direction du bas du bourg.
On voit des potelets sur les maisons : la photo a donc été prise après 1913, date de l’arrivée de l’électricité dans la commune.
A droite, au premier plan, les enfants posent sur le muret de l’épicerie des sœurs Lemerle, l’une des nombreuses épiceries de la commune ; la maison a fait partie de l’ensemble démoli pour créer les locatifs de la rue d’Anjou.
Au premier plan à gauche, c’était la maison de Dominique Huchon, (voir photo).

Personnage original, il élevait des cochons d’Inde qu’il livrait à la gare d’Ancenis, direction l’Institut Pasteur à Paris. Son véhicule à trois rues, le Tempo, était une curiosité de la commune. Dominique était aussi un photographe amateur qui a fourni une collection très intéressante de clichés : les habitants de la commune venaient se faire prendre en photo dans la cour de sa maison.
A sa mort, dans les années 1980, la commune s’est rendue propriétaire de sa demeure et de son jardin pour y installer la supérette et le parking attenant.